Ces travaux viennent d'être publiés dans la prestigieuse revue Journal of Clinical Investigation
11 septembre 2018 - Une équipe de chercheurs de l'Inserm dirigée par Nathalie Dejucq-Rainsford, responsable de l'équipe "Physiologie et physiopathologie du tractus urogénital", a montré que le virus infecte plusieurs types de cellules testiculaires, dont les cellules germinales, à l’origine des spermatozoïdes, ce qui pourrait altérer le processus de fabrication des cellules sexuelles. Par ailleurs, la faible défense immunitaire du testicule contre le virus Zika pourrait nuire à l’élimination du virus dans cet organe et ainsi contribuer à sa persistance dans le sperme.